Entre les adresses et titres qui différaient, etc. Moi-même, je m'y perdais!
Bref, maintenant, c'est ici qu'il faut me rejoindre! A tout de suite! J'ai transféré mes messages un par un, mais perdu vos commentaires. Désolée! N'hésitez pas à en mettre de nouveaux ; le commentaire, c'est un peu l'opium du blogueur...
Et pensez à vous inscrire à la newsletter si ce n'est pas déjà fait.
En tous les cas, j'en suis persuadée. Mais quoi?
Après une fouille intensive dans mes carnets et ma mémoire, je ne trouve que deux ou trois traces de lecture, alors que je suis certaine qu'il y en a eu plus!
Il y a eu Le potentiel érotique de ma femme, que j'ai bien aimé et Oma, ma grand-mère à moi, que j'ai lu uniquement parce que l'auteur avait les mêmes initiales que moi et que ça faisait partie du défi, mais le souvenir ne sera pas présent bien longtemps.
En juillet, c'est plus frais, et j'ai lu Presque jeune, presque jolie, de nouveau célibataire, de ma copine Stephie, La cour des grandes d'Adèle Bréau (j'ai adore, je vais vite me procurer le reste de la trilogie) et Les intéressants, de Meg Wolitzer.
Un livre de plus de 500 pages Les intéressants, lu en juillet
Une romance classique
Un livre adapté en film
Un livre publié cette année ... Presque jeune, presque jolie, de nouveau célibataire... lu en juillet
Un livre dont le titre contient un nombre Dix-sept ans, de Colombe Shneck, lu en février
Un livre dont l'auteur a moins de 30 ans Le potentiel érotique de ma femme, lu en juin
Un livre avec des personnages non-humains 43, rue du vieux cimetière, lu en janvier
Un livre drôle Presque jeune, presque jolie, de nouveau célibataire, lu en juillet
Un livre écrit par une femme Les Morues, lu en avril
Un livre à suspense ou un thriller U4, Jules, lu en mars
Un livre dont le titre est composé d'un seul mot Patients, lu en mars
Un recueil de nouvelles Maîtres du jeu, lu en mars
Un livre qui se déroule dans un autre pays A comme aujourd'hui, lu en janvier
Un livre qui ne soit pas de la fiction Sur la photo de classe, lu en mai
Le premier livre d'un auteur célèbre
Un livre que vous n'avez pas encore lu écrit par un auteur que vous adorez
Un livre recommandé par un ami Will et Will, lu en janvier
Un livre qui a gagné le prix Pulitzer
Un livre basé sur une histoire vraie Charlotte, lu en janvier
Un livre qui est tout en bas de votre PAL Momo, le petit prince des Bleuets, lu en mai
Un livre que votre mère adore
Un livre qui vous fait peur
Un livre qui a plus de 100 ans
Un livre choisi pour sa couverture La cour des grandes, lu en juillet
Un livre que vous auriez dû lire pour l'école mais que vous n'avez pas lu
Des mémoires
Un livre que vous pouvez terminer en une journée On n'a rien vu venir, lu en janvier
Un livre dont le titre contient des antonymes
Un livre qui se déroule à un endroit où vous avez toujours voulu aller Le livre des Baltimore, de Joël Dicker, lu en février
Un livre paru l'année de votre naissance
Un livre avec de mauvaises critiques La Place, relu en mars
Une trilogie Meto, trilogie terminée en janvier
Un livre de votre enfance
Un livre avec un triangle amoureux
Un livre qui se déroule dans le futur Nox, lu en mai-juin
Un livre qui se déroule au lycée Eleanor et Park, lu en janvier
Un livre dont le titre contient une couleur
Un livre qui vous a fait pleurer
Un livre avec de la magie
Un roman graphique (ou bande dessinée)
Un livre d'un auteur que vous n'avez jamais lu Un trou dans le calendrier, lu en mars
Un livre que vous possédez mais que vous n'avez jamais lu Le livre des Baltimore, lu en février
Un livre qui se déroule dans votre ville/votre région J'ai entendu ton coeur pleurer, lu en avril
Un livre traduit d'une autre langue Nous les menteurs, lu en avril
Un livre qui se déroule pendant Noël Flocons d'amour, lu en février
Un livre écrit par un auteur avec les mêmes initiales que vous Oma, ma grand-mère à moi, lu en juin
Une pièce de théâtre Les Fourberies de Scapin, relu en mars
Un livre qui a été interdit
Un livre basé sur une série télé ou qui est devenu une série télé Tout contre Léo, lu en avril
Un livre que vous avez commencé mais jamais terminé
J'avais repéré sur Pinterest une recette qui m'interpellait, des spaghetti carbonara, mais auxquelles avaient été ajoutées des St Jacques. J'ai adapté la recette, car je crois qu'il n'y a pas de crème dans les vraies carbonara. MAIS il est impossible pour moi de manger des carbo sans crème, voire des pâtes sans crème, et, je dois bien finir par l'avouer ici, il est même tout bonnement inconcevable pour moi de faire un repas sans crème. En bonne normande, ça fait partie des aliments que j'ai en permanence dans mon frigo, que l'on pose sur la table sans y penser, deux fois par jour, et qu'on achète au supermarché à chaque fois qu'on y passe sans se demander s'il en reste encore à la maison. De toute façon, on n'en perd jamais!
Voilà donc ma recette (je vous fais grâce de la photo de Pinterest, déjà parce que c'est une inspiration, et surtout parce que j'ai changé la moitié des aliments, mais aussi parce que la photo vient d'un blog de cuisine et est bien plus canon que la mienne.
Pour une famille de 5 personnes dont trois moineaux, il faut donc :
- un paquet de tagliatelles fraîches
- des noix de pétoncle fraîches (environ 500g ici)
- 6 tranches de viande des grisons
- 2 ou 3 cs de crème (je vous laisse deviner le nombre choisi ici)
- un peu d'ail
- 1 ou 2 cs de vin blanc (à l'arrache, quoi!)
- de la ciboulette du jardin, fraîchement coupée
- un peu de beurre
Faire cuire les pâtes.
Dans une poêle, faire revenir les st jacques dans le beurre juste le temps de dorer de chaque côté. Réserver. Dans la même poêle, ajouter la viande des grisons coupée en lamelles jusqu'à ce qu'elle se recroqueville sur elle-même (dans d'atroces douleurs, c'est sûr), puis l'ail et déglacer avec le vin blanc. Ajouter la crème, puis les St Jacques et la ciboulette ciselée.
A servir chaud sans attendre.
Et pendant que j'y pense... en partageant la recette ici, je dis que je me suis vaguement inspirée d'une recette vue sur Pinterest, mais pour laquelle j'ai changé la moitié des ingrédients. Je ne sais pas si vous connaissez ce tumblr vraiment savoureux : Marmithon. Ça relève plein de commentaires lus sur Marmiton dans lesquels les internautes expliquent des changements tous plus étranges les uns que les autres qu'ils ont faits sur leur réalisation! A découvrir si vous ne connaissez pas, même s'il n'est plus actif.
eToujours dans cette volonté, depuis décembre, de me désintoxiquer un peu, j'ai encore procédé à des petits changements sur mon profil Pinterest, et il devrait y avoir encore quelques uns dans les jours à venir.
Je fais partager pour ceux que ça intéresse.
Afin de vous éviter de lire mon post précédent, voilà les données de base : en gros, j'ai décidé en décembre d'arrêter d'intervenir sur Internet en dehors des blogs (car, finalement, après 10 ans de blogging et même si bloguer est devenu une activité complètement hasbeen - ndlr : ça tombe bien, entre le tricot et le crochet, les loisirs de mémé, ça me connaît - c'est un truc qui me plaît vraiment, lire les blogs, parfois les commenter, et en tenir un, quand bien même il serait tout pourri et tenu un jour par trimestre, malgré mes envies). Cela a supposé un arrêt des forums (j'étais accro à un forum, que je suis toujours régulièrement en sous-marin, d'ailleurs), mais aussi des réseaux sociaux (je ne vais plus que sur fb, et occasionnellement) et aussi, pour mon bien-être, des chaînes d'info.
Concernant Pinterest, c'était un peu différent car je ne le considère pas comme un réseau social, ce n'est pas l'usage personnel que j'en fais, mais je le trouve vraiment indispensable. C'est une mine d'idées dans tous les domaines qui m'intéressent : mon boulot, mais aussi les travaux d'aiguilles, le bricolage, la déco, les activités à faire avec les enfants, la photo, etc. MAIS à force d'épingler, je ne faisais pas grand chose de ces épingles. Un peu comme quand Raverly a débarqué, ou Twopeasinabucket (OMG : personne ne doit connaître ce site aujourd'hui!) : on passait notre temps à regarder ce que les autres faisaient, à imprimer des sketchs, des patrons, sous prétexte qu'ils étaient gratuits, sans savoir si on les ferait un jour ou l'autre, on dressait sur les forums des listes de tricots qu'on ferait, on y passait la soirée plutôt que de tricoter, par exemple.
Pour me mettre à la diète, j'ai commencé par éliminer des centaines d'épingles. C'est ce que j'explique dans mon premier post sur le sujet. J'ai remarqué que, lorsque je veux éliminer, je procède toujours de la même manière : d'abord la liste des épingles, toutes catégories confondues, en allant de la plus ancienne vers la plus récente (mais dernièrement, j'ai aussi alterné, de la plus récente à la plus ancienne, car j'ai moins de mal à me débarrasser des choses épinglées très récemment). Puis j'y vais par catégories. Cette semaine, la grande nouveauté a été de supprimer des catégories. Bien sûr, ça m'a fait perdre des abonnés, mais je m'en fiche franchement. Et j'ai aussi supprimé plein d'abonnements (il faut encore que je travaille sur ce point). Je suivais des gens juste parce que tout le monde les suit, des blogueuses influentes, mais qui ne partagent pas mes goûts. De la même manière, j'ai éliminé des nanas qui sont des dingues de Pinterest : vous en suivez toutes, j'en suis sûre : de ces filles qui ont 97852 épingles (chiffre exact d'une nana que je suivais). Mon fil d'actualité était "pollué" par ce genre de personnes, qui, bien sûr, épinglaient parfois des choses qui me plaisaient (vu qu'elles épinglent tout ce qui concernent le tricot / la déco / etc.
Aujourd'hui, j'arrive à un nombre d'épingles réduit, et surtout, j'ai réalisé plein de choses à partir de mes épingles, et je suis décidée à poursuivre sur ma lancée!
Bref, mon Pinterest est ici, et il me convient!
Je profite des vacances pour rattraper également mon retard dans la lecture des blogs des copines, et en lisant celui de Silm, j'ai eu envie de partager ici les photos d'un brunch que j'avais pour une fois pensé à photographier avant que nous l'engloutissions. C'est presque un rituel du dimanche matin ici, où, il faut l'avouer, nous sommes plutôt tous du genre à aimer la grasse matinée.
Au menu, ce matin-là :
Des briochettes aux pralines roses (miam miam miam)
Des muffins anglais
Du pain de mie maison
Des frittatas aux oignons caramélisés, pommes de terre et pancetta
Les scones dont Silm donne la recette sur son blog.
Vous voulez les autres recettes?
Voici une petite cousette qui date du début des vacances.
Ma belle-soeur avait ramené ce beau coupon de voyage, et, comme tous les gens qui ne font pas de couture, elle le voyait très bien sur son vieux fauteuil Ikea (modèle Poang, on en a tous un qui traîne quelque part). C'est donc moi qui me suis dévouée (bah oui, je l'aime bien, ma belle-soeur, et puis, dans ses valises, il y avait un magnifique coupon pour moi, déjà utilisé car je m'améliore sur ce point et dont je reparle très bientôt) pour recouvrir la housse du fauteuil. Ça a été un peu plus compliqué que ce que j'imaginais. J'avais déjà recouvert un fauteuil pour enfant qui y ressemblait, mais là, la taille adulte changeait un peu la donne.
Mais voici le résultat (tadam, roulements de tambour, sonnez hautbois, etc!) :
On a le droit de ne pas aimer, bien sûr, mais bon, en vrai, si vous ne le trouvez pas canon...
La fin d'année s'est bien passée, et les vacances tant attendues sont enfin là. Je les ai prises avec tellement de bonheur et d'impatience que j'ai oublié toutes mes résolutions. Alors que, comme toujours, j'aurais 12000 trucs à montrer ici!
Et il a suffi qu'une copine me dise qu'elle était abonnée à ma newsletter pour que je réalise que je n'avais pas alimenté ce blog depuis des lustres. Lustres pendant lesquels j'ai fait beaucoup de sorties (il faudrait que j'inaugure une rubrique sur mes sorties, restos et compagnie ici!), mais aussi de la cuisine, de la couture et du crochet.
En attendant de vous montrer tout cela (et bien plus encore), bonnes vacances à tous ceux qui ont la chance d'y être ; pour moi, on n'est qu'au milieu, et je goûte mon privilège avec plaisir! Je reviendrai ici, c'est sûr, et plus vite que d'habitude. En espérant qu'il reste encore quelques lecteurs...
La recette que je vous propose aujourd'hui est une recette faite ce soir - et assez régulièrement depuis que ma copine Emilie me l'a donnée. Elle permet de faire manger des légumes aux enfants, et pour les adultes, elle passe très bien aussi (dit celle qui vient de s'en enfiler trois).
Pour 12 muffins, il faut :
- 120g de farine
- 3 oeufs entiers
- 1 sachet de levure
- 100 ml de lait
- 2 cuillères à soupe d'huile
- 3 carottes rapées
- 2 courgettes rapées
- 6 vaches qui rit
Mélanger les oeufs avec la farine et la levure. Ajouter l'huile puis petit à petit le lait sans cesser de remuer. Ajouter les légumes. Remplissez les moules à moitié. Déposer une demi-vache qui rit. Recouvrer l'autre moitié du moule avec la préparation. La consistance doit être la même que pour des muffins sucrés : ne pas hésiter à ajouter de la farine si la pâte est trop liquide. Enfourner pour 15 à 20 minutes.
Et, surtout, dites-moi ce que vous en avez pensé si vous testez cette recette! Bonne fin de semaine à tous.
Plus beaucoup de temps, en ce moment, pour passer par ici, malgré les bonnes résolutions. Entre une kermesse, un spectacle de chorale et des obligations professionnelles (quand même!), je trouve quand même un moment pour lire.
5 livres à ajouter à ma liste des livres lus en 2016, et que j'essaierai de faire coïncider avec mon défi lecture dès que je pourrai :
- Les deux tomes de Nox, que j'ai vraiment dévorés (et adorés!)
- Les deux derniers tomes de Momo, petit prince des bleuets (une histoire gentillette qui complète le premier livre sans être vraiment indispensable, mais après tout, je ne suis pas le public visé, et à l'âge auquel on lit ce genre de livres, on a souvent envie de savoir ce qu'il se passe "après", pour le héros de l'histoire)
- Avez-vous Zachary Beaver?, que j'ai aussi beaucoup aimé.
28 + 5 = 33!
Pour montrer mes coutures (et il y en a!), mes crochets (encore plus!) et même mes recettes de cuisine, il faudra attendre que je sorte la tête de l'eau!
Bon mois de juin et à bientôt ici!
J'ai succombé il y a quelques années, au tout début de la mode, et je suis toujours autant séduite par les trophées en crochet (mais aussi par ceux en tricot, papier mâché et n'importe quel support). Depuis, j'en ai fait un bon paquet, dont certains qui trônent dans les chambres des enfants, et j'envisage très sérieusement une collection dans un coin de la maison. Affaire à suivre...
